Dans son dernier ouvrage Les femmes, le sexe et l’amour. 3 000 femmes témoignent
, le psychiatre et sexologue Philipe Brenot livre des révélations chiffrées étonnantes sur les françaises, dont la libido ne connaît apparemment pas la crise.
L’enquête a été menée sur un échantillon de 3404 femmes françaises, qui ont répondu à un questionnaire très détaillé sur internet.
Sondées, profondément
Au-delà des témoignages très instructifs de ces dames, ce qui ressort de l’enquête réalisée par Philippe Brenot, ce sont les chiffres. Éloquents. Nul ne s’étonnera du fait que les préliminaires, cunnilingus comme fellation, sont appréciés par une écrasante majorité de femmes (80%), de même que la masturbation, pratiquée par 68% d’entre elles – dont la moitié en se servant d’un sextoy - sans une once de culpabilité. En revanche, on en tombe de cul lorsqu’on découvre que pas moins de 68% de femmes ont déjà essayé la sodomie. Mieux : 57% en parlent même comme d’un « expérience positive ». Ces chiffres sont à relativiser dans la mesure où les sondées (sans mauvais jeu de mots) appartiennent à une frange de la population plutôt jeune, a priori, puisqu’elles ont répondu via internet. Mais cela révèle surtout que la sodomie est en train de devenir un pratique courante, au moins chez les nouvelles générations. On n’arrête pas le progrès.
L’enquête a été menée sur un échantillon de 3404 femmes françaises, qui ont répondu à un questionnaire très détaillé sur internet.
Sondées, profondément
Au-delà des témoignages très instructifs de ces dames, ce qui ressort de l’enquête réalisée par Philippe Brenot, ce sont les chiffres. Éloquents. Nul ne s’étonnera du fait que les préliminaires, cunnilingus comme fellation, sont appréciés par une écrasante majorité de femmes (80%), de même que la masturbation, pratiquée par 68% d’entre elles – dont la moitié en se servant d’un sextoy - sans une once de culpabilité. En revanche, on en tombe de cul lorsqu’on découvre que pas moins de 68% de femmes ont déjà essayé la sodomie. Mieux : 57% en parlent même comme d’un « expérience positive ». Ces chiffres sont à relativiser dans la mesure où les sondées (sans mauvais jeu de mots) appartiennent à une frange de la population plutôt jeune, a priori, puisqu’elles ont répondu via internet. Mais cela révèle surtout que la sodomie est en train de devenir un pratique courante, au moins chez les nouvelles générations. On n’arrête pas le progrès.