À l’annonce du départ de Paul Chaplin, l’Anglaise a mis un terme à son contrat chez Bluebird et à son boulot de pornstar pour plonger, toute entière, dans l’univers du live cam. À raison d’une actrice en moins par semaine, le studio coule rapidement ?
Le capitaine quitte le navire et voilà les premiers matelots qui sautent par-dessus bord. La semaine dernière, Paul Chaplin, le patron emblématique du studio Bluebird, décidait de délaisser son bébé pour aller faire joujou avec sa dernière acquisition : le magazine Loaded. Cette annonce rimant avec fin de l’opulence, la pornstar Gemma Massey, prend exemple sur Dylan Ryder et remonte sa culotte au premier coup de mou de la planche à billet.
Après deux années chez Bluebird, l’actrice met fin à sa carrière dans le porno en déchirant son contrat. Normal lorsque celui qui remplissait son seau de billets n’est plus là pour rempiler. Mais sécher vos larmes car vous pourrez continuer à observer ses protubérances mammaires devant les webcams du site anglais Elite TV. Comme elle l’annonçait sur Twitter, la récente ex pornstar évolue en camgirl, histoire de se faire un peu d’argent de poche. En compagnie de quelques beautés telles qu’Ashley Emma ou Dionne Daniels, vous pourrez, dès jeudi, lui téléphoner tout en la regardant se dessaper sur votre écran.
C’est chez Bluebird qu’il faudrait passer un petit coup de fil. La compagnie, en plus, de perdre sa principale source de financement, en la personne de Paul Chaplin, doit faire face à une fuite de ses stars. Après Dylan Ryder, voilà qu’une seconde prend la poudre d’escampette. À ce rythme-là, les acteurs vont finir par ne baiser qu’avec des Fleshlights. Moins d’argent et une pénurie de pornstars, l’avenir du studio est aussi sombre que l’intérieur du vagin de Gemma.
Par Guillaume pour Hotvideo.fr