22 ans. 1m 64, 47 kg et garantie UHT Hardcore : flash sur Sasha Rose. De la Russe, du missile intercontinental polyglotte !
Il fallait être Gilbert Montagné pour ne pas voir que les championnes olympiques russes aux J.O dépotaient grave. De Yelena Isinbayeva (perche) à Evgeniya Kanaeva (GRS) en passant par l’équipe de natation synchronisée, y a pas à chier : ce sont des tops modèles et compétitrices nées. Avec ses 200 scènes en quatre ans, Sasha Rose répond du même atavisme et ses performances sont au diapason de celles de ses compatriotes. Hormis la triple anale qui relève plus du cirque du Soleil que du porno et le cream pie, car venir en elle, ça se mérite, Sasha fait tout, et tout bien.
Ce que dure la Rose
Comme souvent chez les filles venues du froid, il ne faut pas mesurer sa libido à l’aune de son corps de sylphide à peine formée. Son petit 90 A naturel a arpenté tout ce que la planète porno européenne compte comme prod vidéo et web, pêle-mêle : DP Fanatics, Evil Angel, Met-Art, Rocco Siffredi, sans qu’elle n’oublie d’alimenter en contenu son propre site : Sasharose.com. Au début du Printemps dernier, à l’occasion de sa venue en France, c’est pour la chaine Libido TV qu’elle a bossé avec une autre Russe Ivana Sugar, Mike Angelo et Titof. Attachée à L’agence Julmodels Saint-Petersbourg, Sasha Rose semble défier le temps tant il n’a de prise sur elle. A longévité équivalente, Aleska Diamond et Aletta Ocean ne peuvent en dire autant…