L’ultra réputée université Cornell est sous les feux du scandale, nourri par des vidéos pornos filmées dans son imposante bibliothèque.
La Cornell University fait la fierté des Etats-Unis et est entrée dans l’inconscient collectif américain. Il faut dire que l’établissement privé, fondé en 1865 et sis dans l’Etat de New York, fait partie des huit prestigieuses universités de l’Ivy League (le Top of the Pops de l’excellence universitaire, comptant en ses rangs Columbia, Harvard, Princeton et Yale. Cornell peut d’ailleurs s’enorgueillir d’avoir fourni 41 lauréats du Prix Nobel.
L’émoi n’en est donc que plus grand, à la vision de ces vidéos apparues sur le net il y peu et dans lesquelles des individus se livrent à des actes sexuels dans la bibliothèque cossue du campus (la Cornell Engineering Library). Les plus fameuses, au nombre de trois, mettent en scène une même fille blonde, en pleine session onaniste depuis un des petits bureaux en bois de ce centre névralgique de la vie estudiantine (selon les étudiants, les vidéos auraient été enregistrées au rez-de-chaussée et au 2ème étage). La star de ces porn clips serait vraisemblablement le modèle amateur Cameron Knight (dont la page sur le site Playboy a rapidement été désactivée).
Captée depuis la webcam d’un laptop, une de ces vidéos (dont nous vous offrons un des seuls liens encore actifs ci-bas), titrée She Wanks & Masturbates In the College Library !, daterait du mois d’août, au vu de la faible fréquentation de l’endroit. Claudia Wheatley, responsable de la communication de l’université, trouve cette vidéo « dégoûtante » et ajoute : « quand j’étais enfant, ma mère affirmait que beaucoup de personnes sont prêtes à tout pour attirer l’attention et 50 ans plus tard, je reste sans voix face à l’opportunisme malsain de certains. »
Ce n’est pas dit qu’à l’avenir, on en sache plus sur l’égérie de ces vidéos, vu que son compte Twitter (Cammy Knight) - via lequel elle relayait des mini-films à visée branlatoire - vient d’être supprimé… Quoi qu’il en soit, ces instantanés libidineux s’inscrivent dans une mouvance constatée ces derniers temps, constituée de vidéos explicites prenant place dans des bibliothèques scolaires et consultables (modérant paiement) sur des sites de cams tel MyFreeCams.
Lien vers la vidéo de masturbation en milieu universitaire.