A Los Angeles, Marina Maywood se la joue artiste et écrivain. Et ça marche !
La Jane Austen du porn
Lorsqu’elle n’a pas les pattes en l’air, la hardeuse Marina Maywood passe son temps à peindre. Une activité qui semble lui réussir puisqu’on lui a déjà fait plusieurs offres intéressantes. Cet engouement pour ses toiles a été décisif : aujourd’hui, l’actrice américaine pense sérieusement se reconvertir en professionnelle de l’art. Admiratrice de l’artiste du 19e siècle John William Waterhouse, elle se lance aussi dans l’écriture d’un récit autobiographique :
« Jusqu’à maintenant, c’est sur l’influence qu’a eu le porno sur moi. Je ne suis hardeuse que depuis un an et demi, mais cela fait longtemps que je m’interroge sur la différence entre le X et le sexe. En étant hardeuse, je me suis ouverte à de nouvelles choses, cela a changé ma perception des normes. C’est probablement l’une des raisons pour lesquelles je suis devenue pornostar. Si vous faites des mystères autour de la sexualité, quand on la découvre, la première réaction c’est de se dire: “J’en veux plus !” ».
Par Matthieu Rostac
Paru le 25 juillet 2008
