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Janie Summers :il lui manquera toujours un « m »

Janie Summers :il lui manquera toujours un « m »


En annonçant l’engagement de Janie Summers, Digital Playground était à deux doigts de la bourde du siècle. Zoom.




A une lettre près, c’était le procès

Engager une contract girl n’est pas une mince affaire : Digital Playground l’a appris à ses dépends, lorsque la maison de production a ajouté Janie Summers à l’éventail de ses actrices. La jolie blonde aux faux airs de Reese Witherspoon a en effet un patronyme plus proche de la pomme de discorde que de l’accroche sexy.

La nouvelle venue a laissé tomber son premier pseudonyme Heather Starlet pour celui que lui avait choisi Digital, le studio voulant toujours posséder les noms de domaine de ses artistes. Mauvaise pioche ! Janie Summers a eu un illustre prédécesseur : Jamie Summers, hardeuse et surtout Vivid girl de 1986 à 1993 ! Une concurrente donc, à la retraite depuis 16 ans, mais Vivid Entertainment reste tout de même la chapelle d’en face !

« Digital Playground ne sera jamais Vivid Entertainment »

Aux Etats-Unis, cet impair a déclenché des commentaires, parfois des attaques violentes contre le géant du porno Digital Playground. Certains journalistes de la presse X n’ont pas hésité à faire remarquer la vulgarité de la situation. Avant de conclure : « Digital ne connaît même pas l’histoire récente du porno. [Mais] Digital Playground ne sera jamais Vivid ».

A quoi imputer cette volée de bois vert ? Au pouvoir des studios qui gèrent toute la carrière de leurs stars sous contrat, du pseudo aux droits cinématographiques et photographiques jusqu’au nom de leur site. Justement, Digital ne possède qu’un seul nom de domaine lié à sa nouvelle actrice : JanieSummers.net. Les « .com », « .org » sont encore sur le marché...